Digressions autour de la gamme (2) : la GS Pallas

Les années passèrent, on ne voyait plus guère de gs ni même de gsa sur la Côte, si ce n'est un prof de musique lorsque j'étais en 6ème, qui roulait avec une peu ragoûtante gsa beige, là encore risée au milieu des 405, Vectra, ou autres autos neuves du parking des profs. Seul le principal adjoint avait une auto plus ancienne en 1991, il circulait encore avec une 604 SL de 76 pierre de lune mais pour le coup, en excellent état...

C'est en 1999 que je fis acheter à un copain prof d'anglais une gs Pallas brun des Andes de 1976, boxeline, vitres teintées... en 2004, il la fit reprendre pour la casse pour l'achat d'une c2 neuve! Je crois que c'est à ce moment là que j'ai eu envie d'une gs Pallas.

Pour Yannick, le bouton d'allumage de plafonnier est juste indispensable, cela rappelle qu'on est dans une vraie Citroën, la ds l'a. Quand on est obligé d'ouvrir sa porte un jour de grand froid pour chercher quelque chose ou de se démettre une une épaule pour atteindre le plafonnier, cela s'appelle une Renault. Limiter l'effort du conducteur, c'est indispensable quand on vend des ferrailles à la direction si lourde et non assistée et disposant d'un coffre où tout chargement provoque un mal de dos...

Pour JP, malheureusement, les couleurs étaient moins belles sur les autos neuves car non vernies et très mal appliquées, j'ai 2 Citroën de cette époque en métal non verni, bonjour le chantier! A te faire rater une couvée de singes! Ils auraient dû faire comme chez Peugeot, créer 2 options, métal ou métal + vernis.

Pas sûr qu'il devait y avoir moins d'huile sous la Théma!!!

Une continuité dans le changement cela s'appelle. Il leur manquait peut-être 2 assiettes au service Agip... et que l'achat d'à peine 220l d'huile y donnait accès.